L’Institut Allure, à La Valette du Var, vous propose de traiter efficacement la cellulite résistante, avec la meilleure technologie aux résultats scientifiquement prouvés.
C’est encore prouvé ! La dernière étude menée par le Professeur Max Lafontan et l’INSERM Toulouse révèle de nouveaux résultats époustouflants concernant l’impact du LIPOMASSAGE sur les graisses fémorales (tissu adipeux de la culotte de cheval, des fesses et des cuisses), particulièrement résistantes au déstockage.
Grâce à la technologie des CELLU M6 dernière génération et la nouvelle tête de traitement Ergodrive, la lipolyse naturelle (déstockage des graisses) est augmentée de +70 % après 12 séances de CELLU M6.
En effet, il a été démontré que les adipocytes (cellules de la minceur) de la zone fémorale ont en temps normal une activité lipolytique très faible. Cela signifie que ces adipocytes stockent beaucoup plus de graisses que ce qu’ils n’en libèrent. Le LIPOMASSAGE permet de quasiment doubler la libération des graisses localisées.
Quels étaient les objectifs de cette étude ?
Elle a été réalisée pour LPG dans le Centre d’Investigation Clinique du C.H.U. Purpan à Toulouse. Notre objectif était double : mesurer l’impact de la nouvelle technologie LPG sur la mobilisation lipidique et sur l’expression des gènes en comparant l’état du tissu adpeux avant et après traitement (12 séances).
Pour cela, deux techniques d’évaluation ont été utilisées : la microdialyse (pour analyser la lipolyse au sein même du tissu adipeux et voir l’activité de l’adipocyte en direct) et les puces ADN (pour étudier l’expression des gènes).
A ma connaissance, LPG est l’unique fabriquant dans son domaine à réaliser ce genre d’étude qui relève de la recherche fondamentale.
Quels sont les résultats ?
Aujourd’hui nous pouvons confirmer :
Une nette amélioration de la réponse à un agent lipolytique suggérant une augmentation de la lipolyse de +70 % en moyenne et pouvant aller même jusqu’à +100 % dans le cas d’un sujet hyper-répondeur.
Une action sur l’expression des gènes (notament les gènes impliqués dans le métabolisme des graisses et des sucres) rappelant pour certains d’entre eux celle obtenue lors de régimes hypocaloriques.
J’ai été très agréablement surpris par ces résultats de cette étude, c’est une grande avancée pour la recherche scientifique LPG qui laisse entrevoir de nouvelles perspectives d’études !